LA MÉGÈRE APPRIVOISÉE
Mégères insoumises de tous les pays, unissez-vous !
Comment redonner ses lettres de noblesse à une pièce du répertoire shakespearien souvent tancée pour sa misogynie ? Eh bien, en la retournant comme un gant pour en offrir une version féministe, pardi ! Et sans rien travestir du texte d’origine, s’il-vous-plaît. L’idée n’était pas sans risque, mais Frédérique Lazarini lui donne forme avec maestria dans son adaptation de La mégère apprivoisée. Si l’action se déroule toujours en Italie, elle est ici transposée dans les années 50-60 du siècle dernier, en plein âge d’or de la comédie à l’italienne, elle-même issue de la commedia dell’arte… qui influença vivement le barde de Stratford en son temps. Un choix cohérent donc - et loin d’être innocent.
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